Ces heures où il n’est absolument pas question d’avoir une conversation – Il faut se taire – Nos langues se fatiguent – Ménageons-les pour se faire langue contre langue un dialogue de sourd – Il faut se taire – Prête-moi ta main – Bienvenue dans le sac d’une fille – Urgence et précipitation – Coffee & Cigarettes – Des mots qui me touchent – Mais pas de la part de celui qu’on croit – Une journée au Salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d’Arras – Trois percussionnistes communistes sur la place de la gare – Trois grands cafés et un Coca-Cola, s’il vous plait – Confessions intimes et conseils avisés autour d’un petit-déjeuner salé – Errances physique et téléphonique dans le dédale qu’est ma vie – Faire quelques pas en compagnie de Bastien Quignon – Ce charmant charmeur de Guillaume Guéraud – Quand Marc Daniau me déshabille d’un coup de crayon – Vibrer au son des percussions – Une chambre avec vue sur le beffroi – Être rincée, au sens propre comme au figuré – C’est beau, une ville la nuit – Surtout quand on t’y voit passer sur un vélo – Une Convention Ankama qui révèle ce qu’il y a de plus geek chez moi – Celle qui était définitivement attirée par les histoires dramatiques – Auprès de toi ? Toujours, ma belle – Une promenade rue des débris – Un tête-à-tête à l’Arrière-Pays – Partager un café et une cigarette sur le quai d’une gare avec Lui là – Un test tiens vaut mieux que deux tu l’auras – Deux virées sur Arras, deux soirs de suite – Se délecter de ces errances nocturnes en si bonne compagnie – Une sombre histoire d’éclairage public – Mais qui est Caroline ? – Ces filles qui me font mourir de rire – Croiser un visage appartenant au passé dans un lieu improbable et à une heure impromptue – Ne pas résister à l’appel d’une terrasse en début de soirée – Et remettre une fois de plus au lendemain des révisions trop longtemps repoussées – Mais si au mois de mai il y a tant de jours fériés c’est bien pour faire ce qu’il nous plait – Commencer à devenir experte dans l’art de froisser des sensibilités – A quoi bon prendre la vie au sérieux ? – De toute façon nous n’en sortirons pas vivant – Un parapluie rose devant une porte close – Quand il est question d’avoir une discussion de fond – Et quand tu as touché le fond du fond, soit tu crèves, soit tu remontes – Il paraît qu’en diplomatie, l’ultimatum est la dernière exigence avant les concessions – Il paraît – Danses de crocodiles, méduses volantes, canards à sept pattes et autres animaux fabuleux au Circus – Rencontrer enfin mon homonyme – Se réchauffer au Resto Soleil – L’envahissant Kristofer, avec un K – Décliner une proposition subtilement amenée – Décliner une invitation bien que je sois tentée – A deux jours des examens, il n’est plus temps de procrastiner – Un cliché volé qui égaie ma soirée – Quand les formules d’optique se mêlent aux techniques d’impression – Et que les photographes de mode côtoient ceux de chez Magnum – Celle qui me sauvait la vie en m’apportant un McFlurry – Il n’y a pas à dire, à deux on révise beaucoup mieux – Jouer les trois dernières années de ma vie sur quinze jours de temps – Et principalement au talent – Il n’y a pas à dire, à trois on révise vraiment beaucoup mieux – Technologie – Histoire de la photographie – Sémiologie – Gestion d’entreprise – Soutenance de mémoire – Oral d’anglais – Soutenance du book – Résolution de problèmes – Célébrer la mi-temps après cette première période d’examens – Lui là de retour en ville – Celle qui, comme un escargot, transportait sa maison sur son dos – Dans la catégorie « C’est dans ta voiture » – Apprécier d’autant plus cet échange musical, que tu ne sembles pas être quelqu’un de bavard – En retard, je suis en retard, en retard – On appelle ça le quart d’heure picard – Le grand retour de la timbale de princesse – A la recherche de l’antonomase – Celle qui se faisait lilloise le temps d’un week-end – Renaud Dillies au Salon de la BD et des Arts Graphiques de Roubaix – Samedi c’est la folie, au Arras Jazz Festival – Quand décidément le karma en a après moi – Celui qui se faisait porteur de nouvelles dévastatrices parce que tu es la lâcheté incarnée – Envie de vomir – Envie de pleurer – Celle qui n’était pas capable de mettre son ego de côté pour me proposer un brin de réconfort et un café – Comprendre qu’il va désormais falloir faire avec – Ou plutôt sans – Que reste-il de nos amours ? – Que reste-il de ces beaux jours ? – Douze amis en commun sur un réseau social peut-être – Mettre l’auto-focus sur les dernières épreuves au risque de devenir une épave – Prise de vue portrait – Prise de vue publicitaire – Retouche numérique – Rendu des dossiers – C’est terminé… – Celui avec qui j’aimais travailler mon anglais – Une douleur qui passe mieux dans cette langue qui n’est pas la nôtre – Coiffeur, couleur et autres activités girly – Godzimurph ou Murphzilla ? – Relooking de l’extrême pour une situation du même type – Une petite sieste chez ma petite sœur – Cette fascination naissante pour Donjons et Dragons – Une bonne dose de respect et probablement un brin de timidité – Mes choix qui ne sont pas facilités – Celle qui était admissible et faisait ma fierté – Traverser Lille en long, en large et en travers pour la féliciter – Deux garçons inconnus au bataillon qui ont un avis sur notre discussion – Ces moments où je sais me montrer exécrable – L’exposition de Renaud Dillies à la médiathèque de Roubaix – Vendre mon âme au diable pour deux bières en compagnie de cet homme là – Ma complice pour ce moment hors du temps – Débattre de nos amours mortes et de nos amants naissants – Quand le chat n’est pas là, les souris dansent dans mes murs – Lui là, qui s’octroie le rôle d’ami, de psy et de coach de vie – D’interminables discussions – Révoltée devant ce manque de conscience politique – Si l’abstention pouvait se jouer ailleurs que devant les urnes les dimanches d’élection – Quelques mots admiratifs de mon premier amour sur mon Voyage à Roms – Un traquenard qui prend la forme d’une terrasse de bar – Mes collègues, ces amours – Celui qui savait me prendre par les sentiments – Mon premier festival : le Mix’Cité – Un américain en balade – I’m not so smart, boy – Arthur qui partage un coin de matelas avec son Minimoy – Grand café vs. Jus de tomate – Hésiter – Hésiter – Craquer – L’accordéon, moi j’aime – La vie est belgele à vos côtés – Celle dont j’apprécie qu’elle ne prenne pas parti – Celui qui jouait les Sam – Ou plutôt les Bob – Suspendu au bout de mes doigts – Comme je suis suspendue au bout des tiens – Il me perdra mon amour des musiciens – Rentrer au petit matin – Prendre les choses en main – Vaisselle : check – Rangement : … – Ménage : … – Cendrillon au grand bal funk de Wazemmes – Ne pas perdre ma pantoufle de vair – Faire mienne la devise de Java : Sexe, Accordéon et Alcool – Celui qui donnait sa langue au chat – Des sentiments imprévus – Car à vouloir s’aimer pour la beauté du geste – Le ver dans la pomme nous glisse entre les dents – Il nous ronge le cœur – Le cerveau et le reste – Nous vide lentement – Et d’autres petites choses qu’on n’écrit pas sur son blog…
* * *
D’après une idée originale de Moka.
Une jeunesse bien remplie ! et que juin te soit heureux.
Oh ! Merci ! Bon mois de juin également 🙂
Bon mois de juin !
A toi aussi ma douce Irrégulière !
Et bien, mai a été bien rempli !
Je te souhaite un joli mois de juin.
PS : j’ai repris ta phrase (et tout ce qu’on ne ne dit pas sur un blog) pour mon bilan de mois.
Reprends, reprends, c’est un plaisir de la partager avec toi 😉
Et la vie lilloise, ne fusse qu’un we, fut éclectique, douce, arrosée, ensoleillée, gourmande, pleine de petites découvertes malgré une malheureuse défaite 😉 … Le tout un peu grâce à toi! Merci pour cette belle parenthèse de mon mois de Mai …
Je suis heureuse que tu aies apprécié mon chez moi 🙂
Comme tous les mois, c’est un vrai plaisir de te lire dans cet exercice. Bon mois de juin 🙂
Oh merci beaucoup ! Bon mois en cours à toi 😉