Au fil des mois – Janvier 2014

Note pour 2014 : Tu as le cœur trop fragile ma fille, évite les idylles – S’il y a un prix pour manque de jugement, je crois que j’ai le ticket gagnant – Nul homme ne vaut de souffrir autant – C’est de l’histoire ancienne – Je jette, j’enchaîne – Se damner pour des champignons farcis – Celle qui faisait deux poids, deux mesures, selon ses amies – Ces vieilles rancœurs qui remontent parfois à la surface – Mettre le doigt sur ce qu’il pourrait m’arriver de mieux cette année – Douter sérieusement qu’il soit dans les projets de cet illustre illustrateur BD de me courtiser – Un dernier pour la route – Une route qui me ramène doucement vers la rentrée – Celle qui découvrait à la fois mon film et mon réalisateur préféré, et ne m’en touchait pas un mot – Quelques fous rires autour des Fists et des Lettres – Peaufiner les derniers détails d’un colis inavouable – Un tête à tête pour un déjeuner vintage au Moulin d’or – Quand la séance de ciné affiche complet – Profiter de quelques heures pour flâner au milieu des livres – Love from Grallifrey, boys – Ce moment où la stérilisation d’une chatte en chaleur s’impose – Helmut Newton & Alice Springs – Celle qui remplissait ma boîte aux lettres de fraises, de chocolat et de Rouge Tagada – Une question qui me brûle les lèvres, ou plutôt le bout des doigts – Un silence que je ne brise pas – Celle qui envoyait l’ascenseur – Quelques verres et danses endiablées dans un corps de ferme au milieu de nulle part – Les vœux de mon père – Les vœux de mon maire – Mon adolescent préféré qui me présente sa moitié – Celle qui sait graver la beauté sur une simple plaque de bois – Quand l’électricité vient à manquer – Une semaine où l’image fixe prend vie sur mon écran – La vie d’Adèle qui vient bouleverser la mienne – Wanna date ? – Yes I do – Courrier, nom masculin – Welsh vs Tartare – Péronne, ses livres, ses visages amicaux et ses anciens amants – Pour les gens qui te regardent c’est pas une gueule que t’as, c’est juste un vieux souvenir – Surprendre une blonde en pyjama pour ses 30 printemps – Le Louis XI qui mérite le sort qu’on réservait aux rois de France durant la révolution – Un dimanche entre échanges de fripes et tasses de thé – Commencer à envisager sérieusement ces vacances en Lituanie – Se surprendre à souhaiter que ça soit aussi simple que : Hey ! I just met you, and this is crazy, but here’s my number. So call me, maybe ? – Celle qui n’était pas capitalisable et voyait la perspective d’un poste pour septembre partir en fumée – Et un élan d’affection s’échapper – Fêter des retrouvailles avinées autour d’un jeu de société – Last train to Bohain, ou les joies du transport ferroviaire – Grignotages et papotages en fin de soirée – Un farfadet qui se tire – Une journée entière à procrastiner, encore et encore – Préparer l’arrivée en fanfare d’une musicienne – Un dîner entre trois Barbies en attente du beau Ken – Envisager cet été un pèlerinage à Kaunas, parce qu’avec un nom pareil cette ville est faite pour moi – Les bruits de succion d’un couple amoureux, les raclements de gorge d’un tuberculeux, ou les joies du transport ferroviaire encore – Quand le soleil n’est pas au rendez-vous – Juste de l’eau – Un briquet ukrainien retrouvé au fond de mon sac et jeté aussitôt à la poubelle – L’envie de cultiver mon jardin d’hiver – Et d’en chasser les nuisibles – Le vent se lève. Un conseil ? Il faut tenter de vivre – Et d’autres petites choses qu’on n’écrit pas sur son blog…

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D’après une idée originale de Moka.

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