Crédit photo : Romain Argent.
Raclette & vin blanc, oui nous sommes définitivement bien en décembre – Celui dont on avait toujours su qu’il préférait les blondes les hommes – Ne t’inquiète pas ma grande, Frida Kahlo aussi avait de la moustache – Ma bibliothèque, vidée de deux ou trois titres auxquels je tenais – Hé Camélia Jordana, tu m’adoptes ? Je peux faire le ménage et la vaisselle ! – Alors merci jeune homme… Mais même si tu sembles avoir cerné les deux problématiques qui régissent ma vie, je pense que je vais devoir décliner – Te souhaiter une ultime fois un joyeux anniversaire et tourner cette page de ma vie – Celle qui, plus qu’un autre, méritait de signer ce contrat – Sa déception – Celui qui me dit que je suis belle – Prier pour qu’il n’attende pas que moi – Une épidémie de gale qui se répand dans mon établissement – Une administration qui témoigne d’une mauvaise foi sans fond – Profiter d’une sieste salvatrice ou entamer l’écriture de mon mémoire ? – Comprendre qu’il n’est pas encore acquis, mon diplôme de fin d’année – Une balade hivernale avec ma petite maman – C’est parce que tu me trouves jolie, même en pantalon, que tu es, depuis la Chine, l’un de mes meilleurs amis au monde – Se prendre dans le collet tendu par un chasseur – Partager la table d’Alban Lenoir quelques heures durant – Faire la connaissance de deux charmants lillois – Un photo-montage, doux souvenir de cette soirée là – Bright Eyes, Elliot Smith & Stephen King – Un film, comme un battement de cœur – Se fasciner un peu plus chaque jour pour les secrets de la grande pyramide de Gizeh – Offrir mon honnêteté à ce petit con qui commençait à la mériter – Profiter d’un anniversaire pour en fêter un second, précédemment oublié – Un joyeux moment en famille au restaurant – Décortiquer les âneries télévisuelles de nuit avec un ami – Celle qui transcendait Supercalifragilisticexpialidocious – La valse des cadeaux de Noël qui commence – Quand les idées viennent déjà à manquer – Avoir une pensée pour mon parrain et mon papy, comme chaque fois durant cette période de l’année – Un gros barbu et une petite robe noire qui s’invitent dans mes clichés – En retard, je suis en retard, en retard – S’initier à l’Urbex en passant un après-midi derrière les barreaux – Recevoir un joli colis qui met à mal ma sobriété et mon végétarisme – Celle qui réussissait à merveille les œufs cocotte au fromage – Deux macarons à la framboise accompagnés de Chablis – Ces moments précieux en ta compagnie – Une incompréhension entre deux générations – Si à quarante ans nous sommes toujours célibataires, nous nous octroierons une parenthèse sexuelle à Londres, au mariage de mon frère – Retrouver cette Picardie qui m’est si chère et y célébrer un Noël entre princesses – Un premier pipi dans l’appartement de Valérie – Un moment en voiture avec Stéphanie – Ces instants qui n’ont pas de prix – Et le pyjama de chez Monoprix – Compter les heures avant ces vacances dûment méritées – Un tête à tête avec un ancien amour – Celle qui tombait du bus, se fracturait l’humérus et passait le réveillon aux urgences – Célébrer Noël et le grand retour de Rémy, en pyjama avec de la fièvre – Une pluie de cadeaux comme une pluie d’étoiles filantes – Ces mets délicieux qui seront fatals à ma balance – Commencer les vacances alitée, à tousser et délirer – Ma vie dans les trains – Love Actually en charmante compagnie – Un petit-déjeuner parisien – Nos errances aux Abbesses – Ce Robinet d’Or qui réveille nos papilles – Quatre filles et un jean quatre façons de déguster une viande : crue, bleue, saignante, à point – Consumérisme, parapluie jaune et butinage au pays des abeilles – Savoir que Gibert Joseph aura ma peau et repartir avec cinq kilos de bandes dessinées sur le dos – Le Musée de l’Orangerie et sa merveilleuse exposition sur Frida Kahlo – La poule est perdue dans le poulailler, je répète, la poule est perdue dans le poulailler – Celui qui avait rendu mes mojitos amers – Celles qui s’étaient endormies dans le train de nuit – Les joies d’un dimanche à procrastiner entre lectures et tasses de thé – S’attabler enfin pour accorder du temps à ce qui a été négligé – Un joli pyjama, une grosse paire de chaussettes, du foie gras, des bulles, deux films signés Disney, Sophie Marceau et nos cœurs à ramasser – A l’aube de cette nouvelle année se demander : Que reste t-il de nos amours ? – Et d’autres petites choses qu’on n’écrit pas sur son blog…
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D’après une idée originale de Moka.
juste envie de t’envoyer un bisou… (si tu me le permets ?)
Oh ! Oui même deux si tu veux 🙂
Dis, je peux t’appeler Camélia Jordana à partir de maintenant ?
Pas si tu veux que je réponde 😉
Cette expo au musée de l’orangerie m’aurait bien plu aussi ! Au fait, je t’ai tagué : 😉
Oh ! Je répondrai à ça très vite 🙂