Holy shit ! It’s monday ! Mais quel bonheur puisque c’est un peu plus rêveuse que lundi dernier que j’attaque cette nouvelle semaine. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Tout simplement parce que ce week-end j’ai eu la chance de rencontrer un homme, et pas n’importe quel homme… Cet homme qui m’aura fait ressentir certaines de mes plus belles émotions de lectrice cette année, cet homme qui, même s’il l’ignore, aura contribué à embellir mes mois les plus difficiles, cet homme qui a changé à jamais mon regard sur les poussins : Monsieur Renaud Dillies, bien évidemment.
Une fois de plus, c’est cette librairie amiénoise que j’adore qui est à l’origine de mon bonheur. Il y a une petite semaine, j’ai découvert avec surprise que Bulle en Stock recevait le samedi 28 septembre, pour une séance de dédicaces, Renaud Dillies et Régis Hautière. Si j’ai déjà eu la chance de rencontrer le scénariste d’Abélard à plusieurs reprises, ma route n’avait encore jamais croisé celle de son illustrateur. Inutile de dire qu’à l’instant même où j’ai reçu la nouvelle de sa visite dans la Somme, j’ai bloqué l’intégralité de mon week-end pour aller moi aussi faire un tour en Picardie.
Nous avions donc rendez-vous à 15 heures 30, au 4 rue du Marché Lanselles, pour recevoir une jolie dédicace et discuter un peu avec les deux papas d’Abélard. Comme d’habitude, le personnel de Bulle en Stock s’est montré chaleureusement accueillant, et de bons conseils pour nos nombreux achats. C’est toujours un plaisir de les retrouver lors de mes passages furtifs sur Amiens.
Nous étions arrivées un peu en avance, afin de pouvoir regarder les deux auteurs écrire, dessiner et surtout les écouter parler. Un délice de retrouver Régis Hautière, à qui je n’ai malheureusement plus rien à faire signer tant je l’ai suivi dans ses déplacements cette année, et un bonheur de découvrir enfin le visage de Renaud Dillies. Un homme à l’image de ses œuvres, plein de charme et de talent.
Trois dessins et quelques mots plus tard, David François l’illustrateur de De briques et de sang se joint à nous et se prête lui aussi au jeu de la dédicace pour celle qui avait ramené son exemplaire de cette bande dessinée sur Guise et son Familistère, fraîchement signé par Monsieur Hautière. On est charmées, intimidées aussi, par ces hommes qui ne savent pas l’importance qu’ils ont pris dans nos vies. Et comme à chaque fois que l’on passe la porte de la librairie, on n’a plus aucune envie de repartir. Et cette fois même, toutes les raisons de rester. Mais on ne voudrait pas abuser, alors doucement on se dirige vers la sortie avec un dernier regard pour ces hommes qu’on aime.
En attendant la chronique BD de mercredi, je vous souhaite un bon lundi !
Trop chouette !! C’est Noukette qui va être jalouse 😉
C’était génial ! Mais c’est certain qu’avec une rencontre pareille, je vais faire quelques jaloux 🙂
J’aurais dû venir ! J’ai pas pu mais franchement, qu’est-ce que je regrette. Si je m’étais un peu mieux organisé j’aurais été des vôtres…
La prochaine fois peut-être 🙂
Il faut absolument que je fasse la connaissance de cet Abélard !
Ah oui ! Il le faut 🙂
Comme je t’envie !! J’adoooore son travail ! 🙂
J’ai vraiment eu de la chance 🙂
Abélard est un vrai tombeur: trop de la chance d’avoir rencontré son papa!
Oh oui ! Un grand moment !
Tu en as eu de la chance !!!!
Bonne semaine.
Merci ! Bonne semaine également 🙂
J’imagine la joie d’avoir cette dédicace !
Bravo pour les photos de la bannière de Stéphie.
Merci 🙂